Bien. Ce que j'ai à vous dire ne va pas sans un serrement de cœur et un vague sentiment de culpabilité.
Je vous en parlais déjà dans ce billet explicitement intitulé "De la société de surveillance, Facebook, Loppsi et les 'voisins vigilants'". Les amis FaceBook, très peu pour moi. Alors quand les camarades sont revenus gentiment à la charge pour que j'apparaisse sur ce propulseur social, j'ai rechigné.
J'ai fait mine de ne rien y comprendre, surjouant la génération Minitel, grommelé et posé des questions sournoises pour les piéger. Mais ils sont trop forts :) Alors j'ai accepté. A condition de ne pas avoir à m'en occuper sans cesse, les yeux rivés sur l'écran, de ne pas avoir de compte m'obligeant à accepter ou refuser comme "amis" des gens que je n'ai jamais vu de ma vie, de ne rien mettre bien sûr de privé, et que ce soit transparent pour tout le monde que cette page sert à véhiculer des infos, des idées, et ce, bien au delà de ma personne. Pour me contacter, il existe d'autres moyens, d'autres lieux. Virtuels, comme ce blog, et réels, plein.
Donc, il y a maintenant une page "Corinne Morel Darleux" sur FaceBook. Tout le monde peut y accéder, pas besoin avant d'être "amis" (je découvre, hein, pardon). Donc vous pouvez y relayer des infos, diffuser celles qui y sont, et "aimer" cette page. J'ai ainsi reçu de jolis messages surprenants m'indiquant que "X aime Corinne MD" :)
Bref, tout ça pour dire que maintenant que c'est fait, pas question de demie mesure, il faut la faire vivre cette page. C'est aussi, je le reconnais, un super moyen de diffusion de ce qu'on porte. Et à la veille d'une campagne comme celle qui nous attend, une bonne alternative aux médias dominants.
Alors allez-y, n'hésitez pas... Et aimons nous !
(la palme FB à ma camarade Laurence Sauvage qui a posté ce premier superbe commentaire : "
