mardi 6 mai 2014

Taxe sur les transactions financières : son ami c’est la finance (communiqué)

"La finance a été maîtrisée", François Hollande, 6 mai 2014.

hollande-finance-requin.jpgCommuniqué - Taxe sur les transactions financières : son ami c’est la finance

Réaction de Corinne Morel-Darleux, tête de liste FdG aux Européennes pour la circonscription Massif central - Centre

François Hollande et son gouvernement travaillent à l’enterrement en catimini du projet de taxe européenne sur les transactions financières.

La proposition initiale de la Commission Barroso était déjà très insuffisante. Mais pour François Hollande, c’est déjà trop ! En juillet dernier déjà, l’ex ministre et futur commissaire Pierre Moscovici s’était fait le porte-parole des banques, jugeant le projet « excessif ». Aujourd’hui, son successeur Michel Sapin et dix de ses collègues européens s’apprêtent à valider une version microscopique de cette taxe.

Au final, cette taxe n’est qu’une astuce pour amuser la galerie à quelques semaines des élections européennes. Elle ne touchera ni les marchés des changes, ni les obligations, ni l’ensemble des produits dérivés hautement spéculatifs. Tout ça pour ça !

Celui qui déclarait « mon adversaire, c’est la finance » révèle sa vraie nature : il est le serviteur zélé des banques et des financiers.

Heureusement, le 25 mai, ce sera l’heure des comptes pour François Hollande et l’Europe de la finance.

François Hollande et son gouvernement travaillent à l’enterrement en catimini du projet de taxe européenne sur les transactions financières.

La proposition initiale de la Commission Barroso était déjà très insuffisante. Mais pour François Hollande, c’est déjà trop ! En juillet dernier déjà, l’ex ministre et futur commissaire Pierre Moscovici s’était fait le porte-parole des banques, jugeant le projet « excessif ». Aujourd’hui, son successeur Michel Sapin et dix de ses collègues européens s’apprêtent à valider une version microscopique de cette taxe.

Au final, cette taxe n’est qu’une astuce pour amuser la galerie à quelques semaines des élections européennes. Elle ne touchera ni les marchés des changes, ni les obligations, ni l’ensemble des produits dérivés hautement spéculatifs. Tout ça pour ça !

Celui qui déclarait « mon adversaire, c’est la finance » révèle sa vraie nature : il est le serviteur zélé des banques et des financiers.

Heureusement, le 25 mai, ce sera l’heure des comptes pour François Hollande et l’Europe de la finance.

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