Chronique publiée sur Reporterre en deux temps, le 7 mars et le 8 mars 2017 1. L’unité de la gauche ne peut se faire que sur des principes forts On m’a fait remarquer que mes chroniques se faisaient de plus en plus poétiques et contemplatives, empreinte de nature et de paysages, de moins en moins « politiques ». C’est vrai, je l’admets. Et franchement, j’aurais préféré continuer, tant en ce moment mes merveilleux insignifiants m’aident à respirer. Mais avec l’allocution de François Fillon, ce 1er mars, convoqué en vue d’une mise en examen et qui se maintient, l’atmosphère irrespirable de (...)
vendredi 10 mars 2017