J'étais à Tunis les 27-29 mai derniers, pour les premières rencontres du Monde Diplomatique édition arabe à Tunis, co-organisées avec la Fondation Rosa Luxemburg. Un symbole fort, cinq ans après les révolutions arabes de 2011, pour ce journal critique et indépendant, qui avait disparu depuis 18 ans de cette partie du monde. Côté cour, des intellectuels, philosophes, journalistes, politiques, des jeunes et des femmes, quatorze pays du Maghreb, Machrek et d'Europe (avec Podemos, Syriza et le jeune parti Razem polonais) y étaient représentés. Pour le Parti de Gauche, j'étais avec Djordje (...)
jeudi 2 juin 2016