Il faut parler de la vieillesse, même si ça dérange Chronique publiée sur Reporterre le 21 mars 2015 « Je refuse de confondre l’affaiblissement du corps et celui de l’esprit. Je veux que tous aient le droit de garder cette part de dignité qui est la leur jusqu’à leur dernier souffle. Qu’on n’oublie pas qu’eux aussi ont vécu leurs quatre-temps et ont été enfants, jeunes gens et adultes avant de devenir des personnes âgées. Et qu’ils ont le droit d’être des vieux fiers et heureux. » Le long de la route dans la vallée de la Drôme, en ce moment, deux types de cotonneux filent aux arbres. Les (...)
mardi 24 mars 2015