Ça ne s'arrange pas sur le front du logement et de l'hébergement d'urgence. Ne parlons même pas des solidarités les plus élémentaires. A Paris, le SAMU social ferme le Centre d'Hébergement d'Urgence parisien Yves Garrel, seul centre du Samu social à accueillir des femmes en très grande précarité. A Valence, la préfecture de la Drôme qui, en tant que représentante de l'État, a l'obligation constitutionnelle d'accueillir les demandeurs d'asile politique, les jette à la rue : le 22 juin dernier, plusieurs familles, parents, enfants en bas-âge, ont été expulsés de leurs logements d’accueil (...)
jeudi 30 juin 2011