Le Danube m’attira avec une force irrésistible... écrivait Panaït Istrati. E et de fait, comme il y a quatre ans, j'ai passé chaque instant de liberté à Budapest littéralement collée au fleuve. Je suis partie en Hongrie à l'invitation de la fondation Rosa-Luxemburg-Stiftung et de la Gauche européenne. Avant de m'enfermer pour deux jours je me suis autorisé le premier soir de mon arrivée une promenade nocturne dans les rues désertes d'un ancien quartier industriel, ambiance post-apocalypse. Un sentiment imposant à la fois de liberté et d'écrasement. Il y a quatre ans, j'étais déjà venue (...)
vendredi 28 juillet 2017